Ici, les portes s'ouvrent à tous ceux qui désirent échanger des pratiques motivantes à l'apprentissage du français langue étrangère... «Vous savez, les idées: elles sont dans l'air. Il suffit que quelqu'un en parle de trop près, pour que vous les attrapiez!» (R.Devos)
31.12.15
29.12.15
Mise en lumière de la boule du Futuroscope vue du ciel
Tous les soirs,
la boule du Futuroscope prend vie
et vous transporte
dans un voyage féerique d'images et de lumières.
24.12.15
8.12.15
4.12.15
1.12.15
COP 21
Changements climatiques: quels enjeux
Pourquoi limiter le réchauffement planétaire à 2 degrés
Osons agir pour le climat avec les éco-gestes
Les Restos du coeur lancent leur 31e campagne hivernale
Les Restos du cœur ont lancé, lundi 30 novembre, leur 31e campagne hivernale. Les 69 000 bénévoles des Restos distribueront au moins 128 millions de repas à près d’un million de personnes jusqu’en mars, au sein de leurs 2 111 centres ouverts quotidiennement.
Le reste de l’année, le dispositif est allégé et recentré sur les plus précaires.
Avec plus de 93 millions d’euros en 2014-2015, les dons et les legs représentent près de la moitié des ressources de l’association, qui s’appuie également sur les recettes générées par les concerts des Enfoirés et des subventions.
Mais l’association a mis cette année l’accent sur l’élargissement de la loi Coluche, qui permet de bénéficier d’une réduction d’impôts sur des dons faits à des associations fournissant des repas à des personnes en difficultés.
Ouvrir la loi Coluche aux céréales et aux viandes
Après avoir obtenu qu’elle soit étendue aux dons des producteurs de lait, en 2013, et d’œufs, en 2014, les Restos réclament désormais d’«aller jusqu’au bout». Olivier Berthe, président de l’association, explique :
«Il faut pouvoir l’ouvrir aux céréales et aux viandes. Il ne faut pas se laisser arrêter par les obstacles administratifs. Il y a trois ans, on nous disait que c’était impossible pour le lait, cette année ça a fourni 7 millions de litres aux Restos.»
«On en discute depuis deux ans», a expliqué sur place le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll. Le problème? Ces deux filières présentant de nombreux intermédiaires. «Sur la viande notamment, c’est beaucoup plus compliqué de tracer les produits et de déterminer un taux qui ensuite fait droit à une défiscalisation», a souligné le ministre. En revanche, la défiscalisation des dons de fruits et légumes, notamment transformés, est «en cours de finalisation», selon le ministère de l’agriculture.
En savoir plus sur le site lemonde.fr
Inscription à :
Articles (Atom)